Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Site sur la Science-fiction et le Fantastique

1 2 > >>

Bloody Week End IV: Logan’Run – “L’ Age de Cristal »

Bonjour Alexis,

Tu es collectionneur et fan de la série « Logan » Run – L’Âge de Cristal », tu peux nous dire comment est venue cette passion pour cette série TV ?

Enfant, je l’avais vu passer sur France2, comme beaucoup de monde, et je ne l’avais pas trop « calculé » plus que cela. C’est quand j’ai vu la rediffusion de 1999, sur « 13 Rue », il avait fait une belle rediffusion en passant le film en 1er et ensuite la série TV, donc dans l’ordre comme la diffusion aux USA. À ce moment-là, j’ai vraiment redécouvert la série, j’ai vraiment été passionné par l’histoire et les personnages qui étaient dedans.

Ce qui ma particulièrement intéressez c’est le pistolet utilisé dans la série, qui est un prop fonctionnel, c’est-à-dire qu’il fonctionne vraiment en faisant sortir une flamme rouge, a partir de la, j’ai fait des recherches sur Internet pour trouvez des informations.

En réalité, peu de sites parlaient à l’époque de « L’Âge de Cristal » en France, j’ai donc décidé de créer un site consacré à cette série (voir lien ci-dessous). Le but était de mettre un maximum d’informations sur le site, à partir du moment de la création du site, je me suis mis à collectionner, ce qui gravitait autour du film et de la série TV.

Vous présenter au  Bloody Week End IV, une grosse partie de votre collection, dont le pistolet.

Oui, il est fonctionnel, il est difficile à trouvez, car on le trouve qu’aux USA, j’aie mis 5 ou 6 ans pour le trouver. J’ais commencer cette collection à partir de 2002, j’ai trouvé des petites répliques des pistolets, soit en plastique, soit en résine, puis les romans en français, et petit à petit grâce à Internet je l’est complété.

J’ai découvert qu’ils avaient édité les premiers romans en français, qui sont passés assez inaperçus, les DVD du film.

Je les vois aussi en bande dessinée.

Oui dans les années 70, des comics ont été édités aux USA. Certaines reprennent l’histoire du premier livre, et d’autres l’histoire du film, ils font une réédition actuellement d’un nouveau comics aux USA, qui reprend le tome 1 de la trilogie des romans.

Qu’elles sont les différences entre le film et les romans de William F.Nolan?

Le film ayant été réalisé dans les années 70, ils n’avaient pas les moyens techniques ni le budget de faire ce que contenait le roman. Ils ont fait un monde clos sous la « Cité des Dômes », alors que dans le roman c’est le monde entier qui est sous la domination des ordinateurs, c’est la principale différence.

Je vois un disque laser japonais.

Oui, le film a été édité sur presque tous les supports dans le monde entier, parce que le film à sa sortie en salle a eu un très grand succès dans le monde entier, contrairement à la série TV, et il s’agit d’une édition japonaise sur un disque laser, ancêtre du DVD actuel.

La série n’a absolument pas marché y compris aux USA, d’où le peut de produits dérivés sur la série TV, le film ce rapproche plus du roman originel et les fans apprécie plus.

J’encourage les gens à découvrir et à devenir fans de cette série qui est vraiment très belle, et à venir visiter notre site.

Le site www.age-de-cristal.fr

Logan'Run L'Age de Cristal

Logan'Run L'Age de Cristal

Voir les commentaires

  • LeDouble (dessinateur, stroryboardeur,)

  • « Friskoz Invaderz From Space »

    Bonjour LeDouble,

    Tu peux te présenter ?

    Je suis le scénariste de « Friskoz Invaderz From Space » avec Niro comme dessinateur et coloriste (Friskoz Invaderzen  [Indeez urban editions], Mutafukazen [Ankama Éditions], Star Trek [Delcourt], c’est le premier tome d’une trilogie, c’est ambiance série Z, science fiction post-apocalyptique.

    Je suis à la fois le scénariste et le stroryboardeur, j’ai fait tout le découpage et les dialogues, l’histoire je l’ai faite en partenariat avec Niro.

    Tu peux nous donner le contexte de l’histoire.

    On part du principe que 2012 est vraiment arrivé, avec la montée des eaux, la Terre c’est retrouvez submerger avec des milliers de morts et il ne ne reste qu’une ville qui était très en hauteur et est devenu une ile.

    L’histoire ce déroule sur cette ile, et il c’est développer dans cette ile une politique anti-migratoire très sévère, ils ne veulent pas des survivants, ils ont à peine de quoi vivre et ils rejettent tout ce qui est les réfugié climatique.    Et dans cette ambiance un peu délétère, on suit les aventures Nick Loomis un détective privé, c’est inspiré du docteur dans Halloween, ils y a pleins de clins d’œil aux films d’horreur, que l’on trouve un peu partout dans l’album.   

    Ca particularité c’est la même que le dessinateur, c’est qu’ils sont tous les deux handicapés, Niro a le syndrome de little, c’est-à-dire une atrophiée des membres inférieures, et Nick Loomis marche avec des béquilles.

    J’ai voulu travailler la dessus parce que Niro est venu avec ce personnage-là qui changeait un peu de ce que l’on a l’habitude de voir.

    C’est Niro qui a proposé ce personnage ?

    Exactement, il a proposé tout l’univers, toute l’idée et ensemble on a travaillé et préféré positionné ça dans une ambiance de science-fiction post-apocalyptique, car généralement les films de science-fiction, c’est une occasion de parler de chose qui dérangent.

    C’est édité par qui ?

    C’est sorti chez Indeez urban éditions dans leur collection : Urban, le premier tome fait 92 planches.

    Le tome 2 devrait sortir en janvier 2013, le suivant a déjà une trentaine de pages finie.

    Puis-je te demander ce que tu avais fait avant ?

    C’est ma première bande dessinée importante, j’ai travaillé il y a 4 ans avec un petit éditeur numérique, j’y faisais une série uniquement disponible sur Internet, avec des dragons dans un bar, cela parlait également de la fin du monde.           

    Quelles sont les références et les influences pour « Friskoz Invaderz From Space »?

    Concernant « Friskoz Invaderz From Space » on est sur du post apocalyptique, cela n’est pas « Ken, le survivant » ou « Mad Max », on est entre les deux, les influences c’est plus les séries Z, on c’est permis un humour très gras et gore également, c’est ce que nous aimons.

     Les références graphiques, c’est plus Niro qui aurait pu vous en parler avec des films comme « Bad Taste » de Peter Jackson de la première époque.

    Moi c’est les TROMA, « Elmer, le remue-méninges », on est plus dans cette ambiance, Niro à réussit faire ressortir des couleurs, c’est très marqué « Métal, » la musique Métal, Niro étant un fan de Métal.

    On as des passage un peu gore, il a vraiment fait un travail sur les couleurs qui est magnifiques, de la texture, je suis très content de travaillé avec lui, car il a beaucoup de talent.

    À plus long terme quels sont tes projets ?

    Je prépare une autre bande dessinée, c’est un thriller avec des légumes, cela serrât, je pense, a voir, l’idée c’est aussi des fruits et des légumes qui s’embrouille entre eux, il y aura aussi des recettes de cuisine.

  •  

     

     

    Réalisé au Salon de la BD de Lyon

     

     

LeDouble
LeDouble

LeDouble

Voir les commentaires

Festival lumiere 2013  :

Quentin Tarantino Prix Lumière 2013

 

C’est le cinéaste Quentin Tarantino qui recevra le 5e Prix Lumière lors du festival Lumière, qui se déroulera à Lyon et dans le Grand Lyon du lundi 14 au dimanche 20 octobre 2013. Il succèdera à Clint Eastwood, Milos Forman, Gérard Depardieu et Ken Loach.

Décerné par Bertrand Tavernier, Thierry Frémaux et l’équipe de l’Institut Lumière, le Prix Lumière est attribué à Quentin Tarantino pour l’ensemble de sa carrière, pour sa cinéphilie irradiante, pour les hommages rendus à l’intérieur même ses films à la toute la mythologie du septième art (cinéastes, actrices, acteurs, musiciens, etc.), et la façon dont il dit tout le temps : « VIVE LE CINEMA ! ».

Agé de 50 ans, auteur de huit longs métrages, d’une quinzaine de scénario, d’épisodes télé et vainqueur de la Palme d’or à Cannes pour Pulp Fiction en 1994, Quentin Tarantino est réalisateur, scénariste, producteur et acteur. Toute son oeuvre n’a cessé de rassembler le public et la critique : Reservoir Dogs, Pulp Fiction, Jackie Brown, Kill Bill : Volume 1, Kill Bill : Volume 2, Boulevard de la mort, Inglorious Basterds, Django Unchained sont tous devenus des standards de la cinéphilie mondiale.

Alors que toute part les spectateurs mondiaux connaissent par coeur son cinéma, Tarantino, qui vient de connaître son plus grand succès public avec Django Unchained, reste un cinéaste à l’oeuvre personnelle, singulière, brillante et mystérieuse.

La remise du Prix Lumière aura lieu à l’Amphithéâtre du Centre de Congrès de Lyon le vendredi 18 octobre devant 3 000 personnes.

Le Prix Lumière a été créé par l’Institut Lumière afin de célébrer à Lyon un(e) cinéaste ou une personnalité du septième art, à l’endroit même où le Cinématographe a été inventé par Louis et Auguste Lumière et où ils ont tourné leur premier film, Sortie d’Usine, en 1895. Parce qu’il faut savoir exprimer notre gratitude aux metteurs en scène et aux artistes du cinéma qui habitent nos vies, le Prix Lumière est une distinction qui repose sur le temps, la reconnaissance et l’admiration.

 

(Communiqué de presse)

Quentin Tarantino Prix Lumière 2013
Quentin Tarantino Prix Lumière 2013

Voir les commentaires

NIFFF - COMMUNIQUE DE PRESSE – 19 JUIN 2013

 

NIFFF 2013: DEMANDEZ LE PROGRAMME!


En 2013, le NIFFF confirme sa position sur la scène suisse et internationale avec un programme de qualité et de prestige, un florilège de premières et des films en droite ligne de Cannes. Il développe son discours sur le genre fantastique à travers sa sélection officielle augmentée par le programme Histoires du genre, le Symposium Imaging The Future, le forum littéraire New Worlds of Fantasy et le Call for Projects : Swiss Games 2012/2013. De plus, le festival propose une rétrospective When music Scores agrémentée de 5 masterclasses ainsi qu'un hommage à Larry Cohen, invité d'honneur du festival. Pour célébrer le meilleur du fantastique, rendez-vous à Neuchâtel entre le 5 et le 13 juillet.

Le NIFFF en quelques chiffres L

e NIFFF 2013 c’est 9 jours de projections, 5 salles et une capacité simultanée de 1’824 places. Les 136 projections publiques présenteront 80 longs métrages et 17 courts métrages produits par une trentaine de pays différents.

Compétition Internationale
En 14 titres, la Compétition Internationale offre un panorama de la production fantastique mondiale. Fait historique, la présence de deux réalisations suisses : Der Ausflug, un conte moderne du Zurichois Mathieu Seiler et Chimères, un drame horrifique du Neuchâtelois Olivier Beguin. Parmi les films attendus des grands noms du fantastique figurent You’re next de Adam Wingard, The Dyatlov Pass Incident de Renny Harlin, le nouveau film de Vincenzo Natali, Haunter, et finalement Dark Touch, la nouvelle œœuvre très attendue de Marina De Van, membre du Jury du NIFFF en 2011, qui offre ici un thriller surnaturel. La diversité géographique et thématique du meilleur de la production mondiale sera aussi ! Représentée par le très gore Raze de Josh C. Waller (USA) et Contracted, un étonnant film de zombies de Eric England (USA), ainsi que par le désopilant Ghost Graduation de Javier Ruiz Caldera (ES) et le magnifique film de science-fiction de Martin Villeneuve (CA), Mars et Avril. Témoignent également de cette diversité les co-productions latino-américaines, Here comes the Devil de Adrián García Bogliano (MEX) et The Crack de Alfonso Acosta (CO). Pour finir en beauté, deux productions aux univers particuliers, Kiss of the Damned, un thriller érotique de Xan Cassavetes, une des deux réalisatrices en compétition, fille de Gena Rowlands et John Cassavetes et We Are What W! e Are de Jim Mickle, une fable cruelle et déchirante su! r le libre arbitre.

New Cinema from Asia
Vitrine de la qualité et des particularités du cinéma populaire d’Asie, la sélection 2013 se distingue par la présence d’auteurs de renom. La vitalité de la production japonaise est à découvrir grâce à The Complex de Hideo Nakata, réalisateur phare de la Nikkatsu qui signe ici son grand retour. Egalement sur le devant de la scène, le nouveau film d’animation des studios à l’origine de Ghost in the Shell, 009 RE : Cyborg 3D de Kenji Kamiyama. Les aficionados de cinéma sud-coréen ne manqueront pas The Berlin File de Ryoo Seung-wan, un thriller d’une redoutable efficacité. A ne surtout pas manquer : le film hongkongais sélectionné à Cannes, Blind Detective, par le maître du genre, Johnnie To.

Compétition de courts métrages suisses
Pour prendre le pouls de la relève du cinéma suisse, le NIFFF propose une compétition de 8 courts métrages suisses dont une première européenne et deux premières mondiales, avec une majorité de productions indépendantes.

Une conférence permettra aux spectateurs de rencontrer les réalisateurs.

Films of the Third Kind et Ultra Movies
Entre fantastique et thriller, la section Films of the Third Kind propose les titres qui attireront un public éclectique et cinéphile. A ne pas manquer : la nouvelle vague latina avec 7 Cajas des Paraguayens Juan Carlos Maneglia et Tana Schembori et le western urbain Shield of Straw de l’incontournable réalisateur japonais Takashi Miike, en compétition à Cannes. Les amateurs de comédies apprécieront A Liar’s Autobiography de Ben Timlett, Jeff Simpson et Bill Jones et How to Use Guys with Secret Tips, ode décalée au pouvoir féminin du Sud-Coréen Wonsuk Lee.


Pour agrémenter les soirées des festivaliers, le NIFFF propose des séances de minuit qui présentent, sous diverses facettes, la production la plus extravagante ou extrême du cinéma de genre. Démarrage en grande pompe avec les premières européennes V/H/S/ 2, fruit de la collaboration de huit réalisateurs, dont le fameux Eduardo Sánchez (The Blair Witch Project, Lovely Molly), le nouveau film de E.L. Katz, Cheap Thrills, The Rambler, un hommage gore de Calvin Reeder à David Lynch, Gallowwalkers, un western surnaturel avec Wesley Snipes ainsi que HK : Forbidden Super Hero du Japonais Yûichi Fukuda.

Histoires du genre
Le nouveau programme Histoires du genre propose un voyage temporel, géographique et artistique à travers des documentaires inédits parmi lesquels Despite The Gods (Penny Vozniak, AUS), retraçant le tournage indien d’un film de Jennifer Lynch, Rewind This (Josh Johnson, USA) sur le rôle fondamental de la VHS dans la démocratisation du genre et le documentaire Roland Klick-The Heart is a Hungry Hunter (Sandra Prechtel,DE) sur le cinéaste culte allemand Roland Klick qui sera présent au festival.

Rétrospective When music scores ! / Hommage à Larry Cohen
Pour célébrer la magie opérant entre musique et images, plusieurs invités de marque seront présents et offriront des masterclasses et cartes blanches : les compositeurs américains Cliff Martinez (Drive, Contagion, Only God Forgives) et Jeff Grace (House of the Devil, We Are What We Are), le compositeur suédois Johan Söderqvist (Let The Right One In, Tannöd, Insensibles), le producteur français Marc Teissier Du Cros (Drive, Virgin Suicides) et Laurent Guido, professeur à l’Université de Lausanne et grand spécialiste de la thématique.


Larry Cohen, figure de proue du cinéma horrifique américain est l’invité d’honneur de cette 13ème édition. Il vient présenter une dizaine de ses œœuvres les plus significatives, dont la fameuse trilogie It’s Alive, ainsi qu’un programme composé de trois des épisodes TV qu’il a scénarisés.

Ouverture et clôture
Pour ouvrir et clore cette treizième édition, le NIFFF présente Stoker, la première incursion hollywoodienne de Park Chan-wook qui signe ici un thriller sensoriel et macabre avec un casting 5 étoiles, Nicole Kidman en tête et Byzantium, avec les actrices Gemma Arterton et Saoirse Ronan, qui marque le retour de Neil Jordan au film de vampire.

Autres événements
Au rang des événements importants : New Worlds of Fantasy, le forum littéraire en présence de l’un des auteurs essentiels de la littérature de SF contemporaine, Orson Scott Card ; le Symposium Imaging The Future, événement pluridisciplinaire consacré aux derniers développements en matière d’images digitales dans les jeux vidéo, au cinéma et dans les nouveaux médias. La 8ème édition de l’événement accueille cette année pas moins de 16 conférences, tables rondes et masterclasses. La cérémonie de présentation des lauréats du Call for Projects : Swiss Games 2012/2013 aura lieu quant à elle le 9 juillet, à 18.00, au Théâtre du Passage. Pour les familles et les amoureux de musique, la journée du 6 juillet, NIFFF INVASION 2013, proposera notamment le Ciné-Concert Nosferatu vs Turzi, dont la partition intégrale sera interprétée en direct par la formation parisienneTurzi.


Programme complet disponible sur www.nifff.ch

Hommage à Larry Cohen

Hommage à Larry Cohen

Voir les commentaires

Angélique Paultes (Dessinatrice)

Bonjour Angélique,

Vous êtes a l’ÉCOLE ÉMILE COHL (Lyon), en section Court-métrage et vous vous venez de dessiné deux histoires courtes.

Oui j’ai été publié dans le projet « Bermuda » réalisé par « Expérience  Boutique» à Lyon, cela rentrait dans le cadre d’un exercice réalisé dans le cadre de l’école. Il fallait réaliser une histoire courte sous forme de BD de quelques pages, le thème était assez libre.

Pour « Bermuda », vous avez choisi quel thème ?

C’était assez compliqué, j’ai voulu parler de la folie, c’est une fille qui arrive dans une grande ville ce qu’elle supporte mal. Qui est un peu asocial, elle aimerait avoir la paix, elle tombe dans sa folie et imagine qu’il n’y a plus personne, mais ce n’est que dans son esprit. Car tout le monde est toujours là, mais dans sa tête, elle les voit plus et elle réalise que cela n’est pas si mal d’être entouré de plein de gens.

Un fascicule est sorti justement à l’ÉCOLE ÉMILE COHL, c’est plus un univers SF, je crois ?

Il s’agit également d’un exercice réalisé dans le cadre de l’école. Il s’agissait de nous entrainer à monter un projet éditorial, qui puisse être présenté dans une maison d’édition, le thème était également assez libre.

On devait imaginer une histoire qui devait pouvoir tenir au moins un tome, c’est un thème qui me plait bien la SF, comment j’ais regarder beaucoup de films, je trouve que la Science-fiction est plus intéressante, car on peu plus délirer sur des choses qui son pas forcement rationnel, on s’en moque finalement.

Tu peux nous donner le thème ?

Je vous parler de deux personnes qui cette rencontre et qui on pas les mêmes origines, un terrien et u n extra terrestre, qui forcement on peu de points communs, ils vont apprendre a ce connaitre malgré eux en vivant des aventures ensembles.

En fait c’est sur la différence ?     

Oui c’est cela et des liens d’amitié qui peuvent ce créer d’où que l’on vienne de devenir amis.

Et tes références en SF, déjà au Cinéma, puisque tu es en section « court-métrage"  ?

La grande référence est bien sûr “Star Wars”, j’aime bien les films anciens comme : The Ting (1982), ou bien les films de Roméro avec les zombies, mais c’est plus difficile de faire une histoire originale avec des zombies, c’est tellement à la mode en ce moment.

Tu es en troisième année à l’École Émile COHL, je crois ?

Oui et l’année prochaine je prépare mon diplôme avec la réalisation d’un court-métrage. Justement on est sensé s’inspirer d’une histoire, d’un film ou d’un roman. Et j’aimerais bien interpréter une histoire de Ray Bradbury “les chroniques martiennes”

Les “chroniques martiennes en court métrage de fin d’études, c’est du lourd non ?

Oui mais, en fait c’est des extraits, il s’agit de plusieurs petits chapitres, nous ne somme pas obliger de réalisé le roman entier.  On peu prendre juste une séquence, c’est un univers que j’aime bien, je vais essayer, mais j’ais plein d’autre idées, mais c’est un livre  que j’ais beaucoup aimée alors pourquoi pas.

Réalisé au Festival de la BD de Lyon

 

 

 

 

 

 

Angélique Paultes (BD, Cinema)
Angélique Paultes (BD, Cinema)

Voir les commentaires

L'EPOUVANTABLE VENDREDI N°20 - 28 juin 2012 -
Soirée John McTiernan
 
Bonjour.
 
J'ai le plaisir de vous annoncer (ou de vous rappeler) notre dernier rendez-vous de l'année de L'Epouvantable Vendredi. La soirée dédiée à John McTiernan.
Avec le collectif www.facebook.com/freemctiernan et en présence d'Arnaud Bordas et en partenariat avec AOA (www.aoa-prod.com)
Présenté par Fabrice Calzettoni et Julien JAL Pouget et avec le concours des Ingoruptibles (
www.ingoruptibles.com)

Venez revoir deux chefs d’œuvre du maître du cinéma d’action et poser toutes vos questions à Arnaud Bordas. Mc Tiernan se fait connaître avec Predator porté par Arnold Schwarzenegger. L'année suivante, avec Piège de cristal il contribue à faire connaître Bruce Willis dans le monde entier et crée la franchise Die hard. Avec Last Action Hero, il étonne le monde du cinéma, en combinant action, humour, effet spéciaux et hommage à l’histoire du cinéma.

20h PREDATOR
(1987, VOST, 1h47, couleur, avec Arnold Schwarzenegger, Carl Weathers, Elpidia Carrillo)
En 1987, un vaisseau spatial extra-terrestre pénètre dans l'atmosphère et largue une nacelle sur l'Amérique centrale. Quelque temps après, le major Alan « Dutch » Schaefer arrive à Guatemala avec son équipe d'élite pour une opération militaire. Lui est son équipe vont être traqués par une force invisible… Peut-être le plus grand « film de jungle » de l’histoire du cinéma qui se revoit 25 ans après, toujours avec le même plaisir, tant la dynamique du montage et les effets spéciaux étaient maîtrisés comme on avait rarement vu
 
22h30 LAST ACTION HERO
(2002, VOST, 2h10, couleur, avec Arnold Schwarzenegger et un vingtaine de stars dans leur propres rôles)
Danny Madigan, un jeune garçon, sèche l'école pour aller au cinéma. Il est un grand fan de la série des Jack Slater incarné par Arnold Schwarzenegger. Le projectionniste du cinéma est un ami de Danny et il lui propose de venir voir Jack Slater IV en avant-première. À cette occasion, il lui remet un billet magique qui lui permet d’entrer dans le film… Combinaison hallucinante d’action, de comédie et d’hommage à l’histoire du cinéma où l’on croise toutes les stars de l’époque, de Sharon Stone au T1000 du film de Cameron. Du plaisir de cinéphile en or massif !!!
 
Toute la soirée sera ponctuée de nombreux documents en hommage à John Mc Tiernan.
Bar sandwich en partenariat avec Les Fleurs du Malt. Décors de AOA Production.
Plein tarif : 6,80€ • Tarif réduit : 5,80€ • Tarif abonnés : 4,30€ • Pass 2 films : 10 - Achat des billets possible à l'avance sur le site de l'Institut
 
(Communiqué de presse)
 
 
L'EPOUVANTABLE VENDREDI N°20 - 28 juin 2012 - Soirée John McTiernan

Voir les commentaires

L’Eclipse d’un Ange...

 

 Bonjour Dr Pierrette Estingoy

Dr Pierrette Estingoy, comment une Psychiatre, Praticien Hospitalier et un dessinateur assez axé sur le fantastique, comme Thomas Gervais en viennent-il à collaborer sur un projet comme l’Éclipse d’un Ange...

En fait, je connaissais les talents de Thomas Gervais et c'est moi qui lui ai demandé de nous rejoindre sur ce projet, de genre Héroic-fantasy car nous envisagions avec mes patients de l’Hôpital de jour de Décines (Rhône) de réaliser un récit sur les psychoses émergentes avec illustrations sous forme de BD.

À la base Thomas Gervais nous a dit que cela devait être une BD à 100/100, mais que le concept a évolué, vous pouvez nous en dire les raisons ?

Au départ nous avions fait un projet de BD très classique de 48 pages et nous avions commencé la première année à travailler sur quelques chapitres de cette bande dessinée*. Par défaut de financement, car nous n’avons pas pu trouver les partenaires suffisants**, nous avons adapté notre projet pour un concept mixte entre BD et récits illustrés ! Finalement nous sommes assez fiers du résultat car la contrainte nous a rendus très créatifs.

Sur les relations entre patients et équipe médicale participant à ce projet que pouvez-vous dire ?

Pour cette aventure j'ai été assistée de deux membres de l’Hôpital de jour un psychologue, Alain Cochet et un infirmier, Christophe Cléro. Par ailleurs l’ensemble de l’Hôpital de Jour est derrière nous avec notamment deux personnes qui nous aident sur le plan administratif et la diffusion. Il s’agit de Christine Vidal, cadre de santé, et d’Emmanuelle Dancert, assistante sociale. Deux artistes sont venus nous accompagner dans le processus de création,  Thomas Gervais, dessinateur, pour les réalisations graphiques et Amandine. B Morwen écrivain qui nous a aidés pour la mise en forme du premier chapitre. Pour le scénario, le reste du texte et de la conception nous avons mené cela par nous-mêmes.

Cela a-t-il aidé certains patients ?

Ce processus a duré deux ans au total et nous avons pu voir énormément évoluer les patients qui d'ailleurs pour certains ne sont plus vraiment des patients car ils ont quitté l'hôpital de jour pour mener leur vie comme tout le monde. Ils se sont considérablement investis sur ce projet, ont pu prendre du recul par rapport aux troubles qu’ils avaient traversés. Ils sont très fiers de ce qu’ils ont réalisé et très heureux de pouvoir le communiquer, participer aux conférences. Ils ont l'espoir d'aider d’autres personnes qui aurait pu avoir des troubles similaires à se sentir moins seuls, permettre à ceux qui hésiteraient à venir demander de l'aide plus précocement.

Et du coté des membres de votre équipe que pensez-vous que cela leur a apporté ?

Des moments du pure rencontre humaine qui permettent de nous conforter dans la nécessaire lutte contre les représentations négatives qui persistent encore dans notre milieu sur une différence de nature entre les "patients" et les " soignants". Cinq stagiaires psychologues se sont aussi succédées sur le projet et ont modulé leurs visions de la maladie mentale, en constatant que les ambitions de rétablissement ne sont pas que des mots, que les compétences techniques comme sociales des personnes ayant traversé la psychose peuvent être mobilisées si l'on change notre regard sur eux.

 Art et psychiatrie sont liés depuis longtemps, le plus célèbre exemple en France est Camille CLAUDEL et d’autres artistes célèbres : le Dr Blanche (Nerval, Maupassant), le Dr Gachet (Van Gogh), le Dr Nicolas Dahl (Rachmaninov), et le Dr Ferdière (A. Artaud). Mais aussi mes travaux de Tardieu et Simon en France, Prinzhorn en Allemagne ou certains de leurs patients auront des productions artistiques impressionnantes, comment situé vous ce projet dans la relation Art et Psychiatrie ?

Nous notre projet est à médiation artistique mais c'est un projet de communication. Il se base sur les compétences artistiques, très répandues en psychiatrie, parmi les patients sans doute du fait d'un plus grande sensibilité.   Ici la création, avec toutes les exigences d'investissement, d'humilité et de partage aussi, leur a permis de acteur du champ social. Il n'y a pas (encore !) de personnes très célèbres parmi nous mais il n'y a pas que les personnes connues qui ont des talents artistiques.

D'ailleurs, je n’ai pas spécialement exigé d'aptitudes artistiques pour intégrer le groupe. Les talents se sont révélés au court de l’expérience et chacun a pu s'exprimer et aider à son niveau. Il y avait les dessinateurs, parfois excellents pour des décors, d’autres pour des visages, d’autres pour les couleurs. Certains se sont avérés plus compétents pour l'écriture, la mise en récit ou en dialogues.

 

En avez-vous tiré des conclusions sur un plan clinique ?

Sur le plan clinique, cela n’a fait que le confirmer qu'il nous faut porter ce message d’espoir auprès des patients, de leur entourage et des équipes soignantes. Car ensemble ils arrivent à donner le meilleur et bien plus que ce que l'on imagine....

Ainsi, Il est prévu de diffuser cette création le plus largement possible en population générale, lors d’exposition (textes et planches BD), de conférences/débats,  les ouvrages imprimés seront offerts dans les lieux de passage ou aimes des professionnels de première ligne pour la prévention en santé mentale, nous diffuserons aussi une version e-book gratuitement pour que tous puis lire en ligne ou imprimer une version....

L’impression finale est prévue cet été et une journée de dédicace est organisée à l'Espace Jeune de  Décines le vendredi 13 septembre 2013 de 11h à 17h.

Toutes les structures, professionnels, ou personnes intéressées à titre individuel peuvent venir nous rencontrer et éventuellement recevoir un exemplaire (selon le nombre disponible) et nous contacter via l'association Les Artambules (lesartambules@yahoo.fr)

 

* Peuvent  se reporter au dossier publié par le Dr Estingoy (psychiatre) et Alain Cochet (psychologue clinicien, neuropsychologue) dans la revue SANTÉ MENTALE n° 166, mars 2012.

** Cette initiative élue en 2011 et en 2012 dans le cadre du financement « Culture à l’hôpital » du dispositif « Eclats d’art – Réseau des projets artistiques et culturels des unités de soin du Centre Hospitalier Le Vinatier », le projet est accompagné au plan logistique et administratif par la Ferme du Vinatier. À ce titre, il reçoit le soutien du ministère de la Culture et de la Communication – Direction régionale des affaires culturelles Rhône-Alpes, de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes, de la Région Rhône-Alpes et du Vinatier. Une charte « Éclat d’art » fixe les règles de contribution des partenaires culturels ou financiers. Il est notamment exclu toute exploitation commerciale du projet Dans ce cadre, cette réalisation reçoit déjà le soutien financier de partenaires associés au projet tel que le Comité Français pour la Réhabilitation Psychosociale, de la Mairie de Lyon 1er, de l’Université Lyon 1 et de la ville de Saint Étienne (avec la Fête du livre). 

L’Eclipse d’un Ange...
L’Eclipse d’un Ange...

Voir les commentaires

PRÉSENCES D’ESPRITS N° 75

Le zine des  mondes de l’imaginaire

Littérature, BD, Cinéma, TV, Jeux, Illustration

 

Dans ce numéro vous trouverez:

Un dossier sur Brandon Sanderson, y compris un entretien.

Un dossier sur « Docteur Who ».

Un entretien avec l’écrivain : Olivier Boile

Une nouvelle de Raphael Boudin

Un reportage sur les UTOPIALES 2012.

Et les chroniques habituelles : Littérature, BD, Cinéma, TV, Jeux, Illustration

Comme toujours aussi bien pour PRÉSENCES D’ESPRITS que pour AOC, je ne serais que trop vous conseillez de vous abonnez/adhérez à PRÉSENCES D’ESPRITS, soit sur les salons, soit via le site :

couverture: Michel PURUSHOTAMAN

couverture: Michel PURUSHOTAMAN

Voir les commentaires

Thomas GERVAIS et Sylvain Morillo

 Vous sortez un magazine de BD ?

Oui, nous sortons « Les Mondes de Corbaks » au format comics, il s’agit d’un magazine en deux parties, uniquement de la BD, deux histoires de 24 pages chacune, découpé en plusieurs chapitres c’est des histoires à suivre.

On a choisi le format comics et le noir et blanc parce que tous les deux nous aimons ce genre de bande dessinée.

 Nous sommes membres d’une association « Art et Toi » qui est basée rue de Marseille à Lyon.

Nous avons décidé de nous lancer dans la bande dessinée et de créer un petit studio les studios « Corbaks »,  en associatif et en autoéditions.

Nous allons essayer de faire pour l’instant quelques salons, et de mettre en place un site, une correspondance et un abonnement.

C’est le numéro un que nous sortons pour BDécices.

Vous êtes dessinateurs et auteurs de vos histoires ?

Oui nous sommes à la fois dessinateurs et auteurs, deux histoires, deux univers sont développés. 

Quel univers a-tu développé dans "Corbak’s »  ?

C’est un peu compliqué, c’est l’histoire d’un homme qui n’a pas d’identité propre qui ne sait pas qui il est. Il se retrouve    Transbahuté d’un monde à l’autre. Il a la possibilité de passer d’un monde à l’autre par des portails. On ne sait pas trop pourquoi, et il doit récolter des fragments, mais je n’en dirais pas plus pour que les lecteurs le découvrent par eux-mêmes.

Et toi Sylvain tu peu nous donner ton parcours ?

J’ai un CAP en chaudronnerie, ce n’était pas une branche qui me plaisait, je n’ai pas eu une formation de dessinateur.

Tu publies aussi une histoire dans Corbak » de 24 pages, alors quel monde y développes-tu toi ?

C’est de la Science-fiction, le héros de l’histoire va se retrouver avec un pouvoir énorme de créer des Univers. C’est le pouvoir de ses ancêtres. Il va découvrir petit à petit son pouvoir et son étendue.

Au fil de l’histoire, on va savoir comment, il va découvrir son pouvoir, le premier épisode est très axé sur la création des univers et la présentation du personnage.

Vous prévoyez une suite ?

Oui nous espérons pérennisée cette revue, à chaque fois qu’une histoire sera finie nous sortirons une intégrale en album couleur.

Un peu comme les récits Marvel complets.

Donc vous être les futurs Marvel français (sourire) ?

 (Rire) Non je ne pense pas, mais on commence petit après on verra bien.

 

Thomas,Tu peux nous dire quelques mots sur le projet de « L’éclipse d’un Ange » s..

Thomas Gervais

C’est le récit complet sur l’émergence de la psychose d’un jeune homme, cela a été réalisé au sein de l’Hôpital de jour, sous la direction du Dr Pierrette Estingoy , par les patients et moi en tant que dessinateur intervenant.

J’ai travaillé sur ce projet, avec la docteur Pierrette Estingoy. Ce qui était intéressant c’est que nous avons très vite travaillé comme une cellule de Studio on ne savait plus qui était les médecins, les infirmiers, les patients. Le travail s’est fait dans la bonne humeur et une bonne entente.

À la base on voulait sortir une BD, pour diverses raisons, cela n’a pas été possible.

On a pensé à un autre concept, et on a sorti un ouvrage mixte BD/Illustration avec à la fois BD récit illustré, photos.

(Prochainement un entretien avec Dr Pierrette Estingoy [psychiatre], responsable du projet.))

Site des auteurs

http://studiocorbak.overblog.com/

 

 

 

 

Les Mondes de Corbaks
Les Mondes de Corbaks Les Mondes de Corbaks

Voir les commentaires

Communiqué de presse commun du Festival international du Film Fantastique de Neuchâtel (NIFFF),

de la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia

et de la FONDATION SUISA.
 

Neuchâtel, le 12 juin 2013

 

« Call for Projects: Swiss Games 2012/2013 » :

7 projets reçoivent un soutien !

 

Le Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel, la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia et la FONDATION SUISA, organisateurs du « Call for Projects: Swiss Games 2012/2013 », sont heureux d’annoncer que le jury international a choisi de soutenir le développement de sept projets. La cérémonie officielle, la remise du prix de la meilleure composition sonore originale, du Prix Miniclip ainsi que le vernissage de l’exposition consacrée aux jeux sélectionnés auront lieu à Neuchâtel le 9 juillet, dans le cadre du symposium Imaging The Future organisé par le Festival International du Film Fantastique (NIFFF).


Sept projets sélectionnés

En septembre 2012, le Festival international du Film Fantastique de Neuchâtel (NIFFF), la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia et la FONDATION SUISA ont lancé conjointement le « Call for Projects : Swiss Games 2012/2013 », un appel à projets pour jeux vidéo suisses novateurs répondant à des exigences artistiques. Pour cette seconde édition, le jury disposait d’un crédit-cadre de CHF 150'000, chaque projet pouvant se voir attribuer au maximum CHF 50'000. La FONDATION SUISA mettait en outre à disposition CHF 15'000 pour un prix destiné à la meilleure composition sonore originale.

 

Soulignant la qualité et la diversité des 43 projets au concours, les cinq membres du jury ont clos le processus de délibération les 18 et 19 mars derniers à Neuchâtel, fixant leur choix sur les sept projets suivants :

  • ANTYZ (iPhone/Android/iPad) – DNA Studios
  • DON’T KILL HER (Mac/PC, browser game) – Jérémy « Wuthrer » Cuany
  • DREI (iPad/desktop browser) – Etter Studio
  • JOURNEY OF A ROACH (Mac/PC) – Koboldgames GmbH
  • MIRAGE (Mac/PC/iPad) – Mario von Rickenbach, Andi Bissig
  • NED&TED (Mac/PC) – Simon Kovatsch, Marc Gruber
  • UNMEM (iPad/iPhone) – CAUSE (Karian Foehr)

Composition du jury international :

  • MALTE BEHRMANN, ALLEMAGNE, PRÉSIDENT DU JURY
  • – Secrétaire général de l’Association Européenne des Développeurs de Jeux vidéo (EGDF), avocat et enseignant
  • C FROM SUPERBROTHERS, CANADA –
  • fondateur de Superbrothers HQ
  • DEBORA FERRARI, ITALIE -
  • commissaire d'exposition, critique d'art et créatrice de la Game Art Gallery
  • MARC BODMER, SUISSE –
  • juriste et journaliste spécialiste des médias numériques
  • LYN M, SUISSE –
  • interprète, auteure et co-compositrice du groupe Aloan


Prix de la meilleure composition sonore originale et Prix Miniclip

Les sept projets, parmi lesquels quatre d’'origine suisse-alémanique et trois romands, sont également en lice pour le prix décerné à la meilleure composition sonore originale. Présidé par Lyn M (Aloan), le jury de la FONDATION SUISA accueillera de surcroît Alain Monod (musicien / Young Gods, Al Comet), Marcel Vaid (compositeur cinéma et théâtre), Christophe Calpini (compositeur, arrangeur et mixeur / Stade, Mobile in Motion) et Urs Schnell (président FONDATION SUISA).

 

Miniclip SA remettra quant à elle le « Prix Miniclip Swiss Games ». Le jeu primé bénéficiera d’une diffusion internationale sur la plateforme de la compagnie.

Les résultats seront connus lors de la cérémonie officielle du 9 juillet 2013.

Cérémonie et vernissage
La cérémonie de présentation des lauréats aura lieu à Neuchâtel le 9 juillet, à 18.00, au Théâtre du Passage, dans le cadre du symposium Imaging The Future organisé par le NIFFF.

Interviendront lors de cette cérémonie:
MARIO ANNONI, président de la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia
URS SCHNELL, directeur de la FONDATION SUISA
ANAÏS EMERY, directrice artistique du Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel
MALTE BEHRMANN, président du jury « Call for Projects : Swiss Games 2012/2013 »


La cérémonie sera suivie du vernissage de l’exposition « Swiss Game Selection 2013 », à travers laquelle le public pourra découvrir et tester les jeux récompensés
.

« Call for Projects: Swiss Games 2012/2013 »

Voir les commentaires

1 2 > >>
Haut

       Site sur la Science-fiction et le Fantastique

Site sur toute la culture des genres de l'imaginaire: BD, Cinéma, Livre, Jeux, Théâtre. Présent dans les principaux festivals de film fantastique e de science-fiction, salons et conventions.

Pages

Archives

Hébergé par Overblog