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Site sur la Science-fiction et le Fantastique


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BONNES FÊTES de FIN D’ANNÉES

 

Je vous souhaite à toutes et tous de bonnes fêtes de fin d’année.

En 2013, je continuerais la publication d’articles et d’entretiens du monde de la culture des genres de l’imaginaire, et couvrirais des Festivals et Salons, comme je l’aie toujours fait pour être au plus proche de l’actualité.

Pour être sûr de ne pas manquer des infos inscrivez-vous aux newsletters sur le blog d’over-blog, merci d’avance.

Traditionnellement, c’est le Festival International de la BD d’Angoulême qui ouvre l’année festivalière en ce qui me concerne.

Le blog prend quelques jours de vacances, et je reprendrais la publication d’articles dans la première semaine de janvier.

À très bientôt

Stéphane Dubois

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presences d esprits 73

 

 

Présences d’Esprits N° 73

Le nouveau numéro du fanzine des mondes de l’imaginaire, vient de sortir.

Dans ce numéro vous trouverez :

Un dossier de 10 pages, très complet sur Théodore Sturgeon.

Un entretien de Céline Guillaume ;

Les chroniques habituelles sur :

 Le Cinéma

La  B D

Les  Jeux

Les Illustrations

La Littérature

Ainsi qu’un entretien croisé de Christophe Arleston et Pierre Pével, que j’ai eu le plaisir de faire l’or du NIFFF 2012 !

 

 

 

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NoOrNewFuture logo

 

 

Concours international de New Media Art


La Maison d’Ailleurs, en collaboration avec la Ville d’Yverdon-les-Bains, lance un Concours International de New Media Art.
Les participants sont invités à s’exprimer sur le thème «No or New Future?» en postant une séquence vidéo de maximum trois minutes sur le site
noornewfuture.com (délai : 10 février).


Les vidéos reçues sont publiées régulièrement sur le site web et les internautes pourront voter pour leur création préférée dès janvier 2013!

Le jury, présidé par Pierre Keller, récompensera les artistes qui se seront distingués par leur approche ambitieuse et leur proposition graphique originale. Quatre prix seront offerts le 2 mars 2013 à 18h30: 5'000 CHF, 3'000 CHF, 1'500 CHF et le Prix du Public.

Informations, règlement et inscriptions sur noornewfuture.com

 

Changement d'exposition


Playtime – Videogame mythologies s’est terminée dimanche 9 décembre, après neuf mois d’affluence. Grâce à son approche ludique et interactive, l’exposition a attiré 14'000 visiteurs, un record !

 

La Maison d’Ailleurs et l’Espace Jules Verne sont fermés jusqu'au 2 mars.


Nous nous réjouissons de vous retrouver samedi 2 mars 2013 pour le vernissage de notre nouvel espace permanent Souvenirs du Futur et de la prochaine exposition temporaire Genèse : des croquis à l’œuvre, consacrée à l'artiste
Aleksi Briclot.

 

 

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Participez au concours lancé par le NIFFF et vous gagnerez peut-être des places pour aller voir

 

SILENT HILL: REVELATION 3D ou encore MANIAC.

 

Allez, joyeux Noël !

 

 

Infos et bande-annonce Silent Hill: Revelation 3D:

 

www. ascot-elite.ch


Infos et bande-annonce Maniac:

 

www.ascot-elite.ch

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banner cfp web

 

 

Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia

et de la FONDATION SUISA.

 

Neuchâtel, le 18 décembre 2012

 

Game designers suisses : faites vos jeux !

 

Les développeurs/-euses suisses de jeux vidéo ont jusqu’au 15 janvier 2013 pour participer au «Call for Projects: Swiss Games 2012/2013» lancé par le Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel (NIFFF), la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia et la FONDATION SUISA afin de soutenir la création vidéoludique nationale. L’examen des dossiers sera confié à un jury international qui attribuera des aides sélectives pour un montant total de CHF 150'000 CHF.

 

Admis désormais comme un bien culturel et un moteur économique à part entière, le jeu vidéo a connu ces dernières années un essor spectaculaire. Si la qualité du Game Design suisse est aujourd’hui internationalement reconnue, le soutien à la création reste, lui, nécessaire. Le NIFFF s’associe donc à la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia et à la FONDATION SUISA pour proposer le «Call for Projects: Swiss Games 2012/2013», destiné à encourager la création helvétique en matière de jeux vidéo.

 

Les candidatures peuvent être déposées jusqu’au 15 janvier 2013 à minuit sur le site du NIFFF. Le dépôt des dossiers étant constitué de plusieurs étapes, les participant-e-s sont encouragé-e-s à ne pas attendre la finalisation de leur prototype pour lancer l’inscription sur le portail en ligne. Les prototypes seront soumis à l’expertise d’un jury international présidé par l’Allemand Malte Behrmann, Secrétaire général de la Fédération Européenne des Développeurs de Jeux vidéo (EGDF). Le jury dispose d’un crédit-cadre de CHF 150'000 pour soutenir le développement des projets, en fonction de leurs qualités artistiques, leur originalité et leur potentiel de distribution. Chaque projet pourra se voir attribuer au maximum CHF 50'000. La FONDATION SUISA met en outre à disposition CHF 15'000 pour un prix destiné à la meilleure composition sonore originale.

 

Les jeux sélectionnés feront l’objet d’une exposition publique présentée du 5 au 13 juillet 2013 dans le cadre de la 13ème édition du Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel (NIFFF).

 

Inscriptions en ligne et informations sur le «Call for Projects: Swiss Games 2012/2013» : www.nifff.ch

Informations sur le programme «GameCultu du jeu à l’art» de Pro Helvetia, qui est à l’origine des Calls for Projects de 2010/2011 et 2012/2013:  

 

www.gameculture.ch

 

(Communiqué de presse)

 

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affiche-jourlepluscourt

Le Jour le plus court

 

Vendredi 21 décembre

 

12h30 PROJECTIONS ET DÉJEUNER (30min, à la Villa Lumière)

 

La Légende de la soie de Paul Grimault

 

En rachâchant de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet

 

Foutaises de Jean-Pierre Jeunet

 

Walking on the Wild Side de Dominique Abel et Fiona Gordon

 

Suivi d’un déjeuner-buffet au Hangar du Premier-Film

 

(10 € : inscrivez-vous vite !)

 

17h Charlot : chefs-d’oeuvre en courts 2 (1h17, entrée libre)

 

Charlot débute au cinéma,

 

Charlot cambrioleur,

 

Charlot s’évade,

 

L’Emigrant

 

19h COURTS MÉTRAGES DE 2010 (1h25, entrée libre)

 

Diane Wellington d’Arnaud Des Pallières

 

J’aurais pu être une pute de Baya Kasmi

 

L’Accordeur d’Olivier Treiner

 

Ya basta de Gustave Kervern et Sébastien Rost

 

Le 21 Décembre 2012,

 

Le court métrage est à la fête dans toute la France

et sur tous les écrans plus d’infos sur :

 

www.lejourlepluscourt.com

 

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livreSFweb

 

 

Entretien avec Simon Bréan, auteur de :

La Science-fiction en France

Théorie et histoire d’une littérature

(2e partie)

Existe a-t-il un « space opera » à la française, ou est que c’est autre chose ?

Il n’y a pas exactement de « space opera », il n’y a pas a proprement parler de « space opera » enthousiaste avec des aventures dans l’espace, des espèces de pirates, des aventures échevelées d’un point a l’autre de l’espace. Ce que nous avons c’est un système ou toute part plus ou moins de la Terre, nous sommes toujours plus ou moins autour de la Terre, des voyages spatiaux deviennent possibles et peu à peu on rencontre des extra-terrestres, on leur fait un peu la guerre, mais c’est plutôt des martiens ou des gens très proches. Il n’y a pas d’expansion radicale, un roman qui est vraiment dans l’expansion radicale c’est le « Gambit des Étoiles » de Gérard Klein n’est pas du tout dans cette logique du « space opera » martial, c’est au contraire un type de récits d’exploration spatiale, on a un aventurier qui va a la rencontre d’autres civilisations, qui essaie de comprendre ce qui se passe ailleurs et qui finalement va donné les clefs du voyage spatial de l’humanité entière.

Gérard Klein, qui signalons le fait la préface de votre ouvrage.

Oui, Gérard Klein qui fait partit des auteurs majeurs de la science-fiction française de cette période la, a plus d’un titre dont a titre d’éditeurs, a accepté de faire la préface, notamment parce qu’il a relu avec d’autres, mon travail pour le validé, alors que je l’écrivais encore pour mon doctorat. De fait parmi les théoriciens de la science-fiction l’un de ceux sur laquelle je m’appuie est bien sur Gérard Klein, Jacques Goimard fait partie des gens qui m’ont également beaucoup inspiré.

Pour la réflexion sur les conditions de productions de la SF comme milieu éditorial, la seule personne qui est fournie une réponse pointue c’est Gérard Klein.

Quelle place donnée vous dans votre travail de Maitre de Conférence à la Science-fiction.

Il s’agit de faire la différence entre le travail de recherche et l’enseignement. Je suis un enseignant-chercheur, dans la partie recherche, je favorise, sans que cela soit mon seul axe de recherche, pour les étudiants de master I et de master II, c’est tout ce qui a trait à fiction et parmi les actes de recherches que je propose il y a la science-fiction, dans ce que je fais comme travail dans l’université, c’est plus dans l’encadrement de futurs chercheurs, de niveau Masters. J’ai un étudiant qui travail sur Alain Damasio et la « Zone du dehors », j’ai un autre étudiant qui travail la fantasy urbaine.

Dans le domaine de la littérature comparée, on a intérêt à avoir de bonnes connaissances de la science-fiction française, on peut plus facilement trouver des auteurs dont les œuvres vont bien dialoguer avec celles des auteurs d’autres pays.

Vous allez continuer vos recherches sur la Science-fiction ?

C’est mon point de départ, sans en être le centre de mes recherches, ce que je compte faire, c’est de posé une théorie de lire suivant des critères communs, les trois branches au moins d’une littérature « à effet de mondes », ce que j’appelle « effet de mondes », pendant que le lecteur lis l’ouvrage il s’intéresse à ce qui ce passe dans le décor, ce décor dont on a dit souvent pour la science-fiction qu’il est un des héros importants, est très important, dans d’autres littératures : la littérature réaliste, la littérature de fantasy/fantastique et la littérature de science-fiction, on toutes les trois en commun cet intérêt pour la fiction, ce que je compte faire partir ce que j’ai repéré pour la SF pour proposé des moyens de lire la littérature de fiction en général, une nouvelle manière de réutilisée, ce qui a été vu sur la science-fiction avec le reste de la littérature.

Une dernière question, votre ouvrage qui sort en avant-première pour les UTOPIALES, qu’elle est l’accueil du public des UTOPIALES ?

Une chose qui m’as fait très plaisir, c’est que un certains nombres d’auteurs présents on envie de le lire, cela prouve une nouvelle fois que les auteurs qui l’écrivent sont aussi des gens qui on envie dans savoir plus sur ce domaine. Ils s’investissent  beaucoup fait que ce type de travail les intéresse.

 D’autre part des lecteurs qui on des profils différents, mais l’idée générale, plus on en sait sur la science-fiction mieux au comprend, mieux on peu la lire. J’ai essayé de faire ce n’est pas uniquement une histoire, mais une théorie, sans faire une théorie abstraite de la SF, c’est une théorie qui propose une explication sur la manière dont on lit intuitivement la SF, j’essaye de donné une forme plus technique à des intuitions de lectures, des lecteurs qui réfléchisse     À la manière dont un texte de science-fiction s’écrit, dont comment s’organise le texte, peuvent trouvez dans ce que j’ai écrit des indications sur exactement ce qui ce passe dans leurs têtes, du moins la manière dont les textes programme leurs lectures.

De prédire leurs lectures, c’est une façon pour ces lecteurs la de passez a un deuxième stade, c’est déjà des gens qui réfléchissent à ce qu’ils lisent, d’essayer de voir, si on regarde le texte précisément le genre de chose qu’ils trouvent.

Les gens sont intéressés par autres choses que simplement la lecture, que le fait de recevoir les œuvres, ils en veulent « un peu plus », et cet « un peu plus », il y a aussi bien des informations sur les auteurs, et comprendre aussi les mécanismes qu’il y a derrière la création, cela fait partis des choses que j’ai également essayé d’étudier comment ce fait la création d’une œuvre et comment ce recréer à chaque lecture dans l’esprit des lecteurs, un monde qui as été a été mis en place au départ par des auteurs.

Merci de votre accueil Simon Bréan.  

Entretien réalisé aux UTOPIALES 2012

 

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simon bréanEntretien avec Simon Bréan, auteur de :

La Science-fiction en France

Théorie et histoire d’une littérature

(1ere Partie)

 

 

Bonjour,

 

Vous publiez aux éditions des Presses Universitaire Paris Sorbonne, une « histoire de la science-fiction dans la littérature française », à l’origine il s’agit d’une thèse, pouvez-vous nous en dire plus.

 

J’ai écrit une thèse sur l’histoire de la SF en France. Je viens d’être élu maitre de conférences a Paris-IV Sorbonne.

 

Pourquoi avoir choisi de faire votre thèse sur la littérature de SF française ?

 

Je suis un amateur de Science-fiction depuis longtemps, quand j’ai envisagé de faire un travail de doctorat, la science-fiction a semblé après discutions avec différents directeurs de thèse possible, une des possibilités, car c’est un genre qui n’est pas très légitime. Surtout celle écrite par des Français.

 

L’intérêt pour la théorie de la fiction, la création des mondes, a rendu plus intéressant pour les chercheurs en général, ce domaine de la science-fiction, ors pour pouvoir réellement approcher ce domaine, il est préférable d’avoir une connaissance préalable compte tenu de tout le travail qu’il y à faire la plupart des gens non pas, l’énergie forcement qui est aussi peu repérer.

 

Mon projet était de donner les moyens à d’autres chercheurs, ce qui est le principe de la recherche, mais dans ce domaine cela était indispensable, de donner à d’autres chercheurs les moyens de ce repérer dans le domaine de la SF Française.

 

La question de la littérature de science-fiction française a vraiment été peu étudiée dans le domaine universitaire ?

 

Elle l’a peu été, même s’il y a eu des travaux qui ce font régulièrement, que nous avons des chercheurs qui sont spécialisés, je ne suis pas le premier loin de la, a m’intéressez a la SF française, ce qui n’avait pas eu lieu jusqu’a maintenant, c’était une étude systématique qui permette de donner des points de repère historique et théorique en général sur la Science-fiction.

 

Le seul travail un peu de synthèse sur ce thème c’était « histoire de la Science-fiction moderne » de Sadoul, mais il y aborde surtout la science-fiction américaine, la SF française n’est traitée que sur une cinquantaine de pages, on il donne des points de repère tout à fait pertinents. Ensuite on avait des points de repère avec d’autres ouvrages.

 

J’espère que mon livre sur ce sujet permettra de combler un manque qu’il y avait dans les études universitaires en premier lieu, et j’espère qu’il pourra servir aux amateurs de sciences-fictions.

 

J’ai fait un travail de recherche approfondi en partant des archives de certains écrivains de fictions, j’ai dépouillé intégralement la revue « Fictions » et j’ai aussi fait vérifier ce que je disais par des gens qui ont vécu ces époques-là et des érudits du domaine.

 

Quels sont vos principaux axes de recherches et des origines ?

 

Ce que j’appel « science-fiction » je lui donne un sens très restrictif, j’admets en général sciences-fictions les textes qui font la spéculation scientifique, tout ce que l’on a pu avoir avant 1950.

 

Jules Verne est plus pour vous de l’anticipation ?

 

En fait j’appel ça d’un terme volontairement assez vague « l’imagination scientifique », l’idée que l’on utilise les images de la science pour produire des récits qui peuvent être plus ou moins dans le futur, un simple « pas de coté » par rapport a la société contemporaine.

 

Ce type de récits me semble majoritaire avant 1950, j’ai étudié une nouvelle manière d’envisager ce type de récit avec l’influence américaine, j’étudie le champ littéraire français qui s’est développé à partir de 1950, le corps de ma réflexion est 1950/1980.

 

Ce que je propose c’est une histoire des structures éditoriales et des images principales associées à la science-fiction, des manières de les écrire.

 

Je pars d’un état des lieux, ou je vois ce qui s’est fait avant.

 

Vous abordez au début de votre ouvrage les « auteurs canoniques ».

 

Oui il y a toujours ce jeu des précurseurs qui on utilisé des images associées a la science-fiction, ce que je désirais étudier ce n’était pas tellement la place de la science rationnelle dans la littérature, mais la façon en France, ce qui n’a pas été le cas dans un certain nombre de pays européens, la littérature de science-fiction c’est constitué avec des auteurs autochtones, des auteurs de valeurs qui on eu la possibilité de se faire publier, de développé leur thème et univers personnel.

 

Comment ce fait-il qu’en France, cela est put ce produire, ce n’es pas seulement parce que des auteurs avait déjà écrit des choses.  

 

Mais parce qu’il c’est produit quelque chose dans les années 50, des maisons d’édition on développer des collections : « Présence du Futur », « Le Rayon Fantastique », « Fleuve Noir »… ces collections se sont ouvertes à des auteurs français, ces auteurs français, elles ne ce sont ne pas contenter de copies, de faire de la science-fiction à l’américaine, mais on développé des univers personnels très forts.

 

Quand nous étudions sur le long terme cette évolution on ce rend compte qu’il y a une grande complexité on ce rend compte que énormément de complexité, quand on suit par exemple : Francis Carsac, qui as écrit des ouvrages tout à fait remarquables, son dans un univers personnel, on peu comprendre pourquoi il as cesser d’écrire en ayant une notion de ce qui c’est passé dans l’histoire éditoriale, il avait associé son parcourt personnel au « Rayon Fantastique », finalement après la disparition de la collection il n’a pas continuer.

 

Quelle place dans la SF donnez-vous à Boris Vian ?

 

Boris Vian a eu un intérêt très fort pour la science-fiction, mais il me semble que cela n’est pas un auteur important pour la science-fiction, il a eu un rôle symbolique important au tout début, il fait partit de ceux qui on écrit des articles, fait la promotion de la science-fiction, mais Boris Vian n’avais l’ambition d’une science-fiction française, il n’a jamais fait de la science-fiction, il a fait d’autres choses. Un peu proche, mais pas de la science-fiction, et il n’a jamais favorisé ce type de choses, il s’intéresse a la science-fiction, mais surtout anglo-saxonne, il s’intéressait a la science-fiction comme une littérature à lire pour lui, mais pas comme une littérature à produire.

 

 Quelles sont la ou les spécificités de la science-fiction française suivant les périodes étudiées ?

 

Ce qui me semble important et sait pour ça que j’ai construit mon travail de cette manière, c’est de toujours envisagé simultanément un contexte historique, par contexte historique je veux dire avoir réellement une idée de ce qui sait produit et a quelle époque avant de pouvoir envisagé d’analysé les textes et de faire ressortir des hypothèses particulières, et ce qui ressort notamment comme hypothèse principale c’est ce que j’ai appelé paradigme dominant, a des moments donnés, il y a une certaine manière d’envisager la SF, cela ne veut pas dire que des thèmes son absent, cela signifie que quand les gens pensent science-fiction, ils pensent tels types de choses et nous voyons que cela évolue, et également s’accumule par exemple le paradigme dominant des années 50 en France, sait le paradigme de l’exploration spatiale, ors ce qui ce publie a la même époque aux USA, n’est plus tellement l’exploration spatiale on est pas dans ce type d’expansion et en même temps ce n’est pas du « space opera » à la française, il y a des caractéristiques particulières.

 

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François Coupry

 

La femme du futur  et autres contes paradoxaux

 

femme du futur

 

Collection « Le K »

Pascal Galopé,  Editeurs

 

Ce recueil de textes comprenant deux inédits, le premier : « Éloge de l’insolite, de l’imprévisible et de l’insécurité » est un savoureux dialogue entre le Dr Jekyll et Mr Hyde, digressant sur la société actuelle.

 

Sous des propos à la fois, cynique, caustique et pouvant être d’une totale hypocrisie. Ce texte d’un peu plus de 20 pages est assez jubilatoire à lire.

***

Le second texte inédit qui donne le titre du recueil « La femme du futur » roman de 140 pages est une œuvre de science-fiction.

 

L’héroïne Anna Wooh, née en 2187 à Beijing-City à l’ère de « L’Harmonie flamboyante » dans un monde sans pauvre, des banques qui augmentent les comptes alors que personne ne produit, ne travail, ou il suffit de ce servir.

 

Monde où il suffit de cocher les bonnes cases pour renaître : belle, riche et heureuse.

 

Anna Wooh, fini par ce poser des questions, ou du moins grâce à des rencontres, elle s’en pose autant quelle finira par en poser.

 

Qui produit, qui répare objet et machines ?

Quelle est la forme politique dans cette société dans laquelle elle vit ?

Réflexions sur le devenir de notre civilisation et les valeurs quelle véhiculera à l’avenir.

 

***

 

Les trois autres textes cultes de cet auteur, et devenu introuvables, son réédité dans une version révisée, réédition d’ailleurs bienvenu.

 

Il s’agit de :

 

« Ventre bleu » PUF, Paris, 1978

« Jour de chance » PUF, Paris, 1982

« Nos amis les microbes » (une journée d’Hélène Larriviere) PUF, Paris 1989

 

Pour connaitre la biographie et la bibliographie de cet auteur, rendez-vous sur son site :

 

http://www.coupry.com/

 

Pour plus d’informations sur les Éditions Pascal Galopé rendez-vous sur le site :

 

http://pascalgalodeediteurs.com/le-k_178_.html

 

 

 

 

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laurent jouannaud - kafka

 

Laurent Jouannaud « Kafka,suite »

Collection « Le K », Pascal Galodé Editeurs.

Laurent Jouannaud, publie aux éditions Pascal Galodé une uchronie du personnage de Franz Kafka.

Décédé en 1946, par la volonté de l’auteur (au lieu du 3 juin 1924) à Nice, Laurent Jouaunnaud qui a une connaissance importante de la vie et de l’œuvre de Franz Kafka.

Généralement les uchronies basées sur un personnage sont sous forme de roman dans lequel évolue le personnage en question, ce n’est nullement le cas dans cet ouvrage.

Laurent Jouannaud choisi de nous livré une biographie uchronique, en lieu et place d’un roman, seule sa profonde connaissance de la vie, de l’œuvre et de la période concerner le lui permette de nous livré une œuvre crédible.

Original dans sa forme, je ne saurais que vous en conseillez la lecture.

Bibliographie :

Essai littéraire :

« Toxiques » PUF, Paris, 2003.

Romans :

« Manuelles Iskaré », PUF, Paris, 2003.

« La condition sexuelle » PUF, Paris, 2005.

Site de l’Éditeur :

http://pascalgalodeediteurs.com/

 

 

 

 

 

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Site sur toute la culture des genres de l'imaginaire: BD, Cinéma, Livre, Jeux, Théâtre. Présent dans les principaux festivals de film fantastique e de science-fiction, salons et conventions.

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