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Site sur la Science-fiction et le Fantastique

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Daph Nobody L’Enfant Nucléaire

  daph nobody

Bonjour Daph,

Tu en es à ton 4e ouvrage.

Oui j’ai déjà publié deux recueils de nouvelles et un roman avant l’Enfant Nucléaire.

Justement l’Enfant Nucléaire, c’est quoi comme genre ? C’est de la science-fiction, du fantastique ?

Je dirais que c’est un thriller fantastique, mais qui mêle aussi le roman noir, qui devient a un moment donné un thriller politique et qui se boucle d’une manière très proche de la science-fiction, j’ai voulu mélanger les genres parce que je me dis qu’isolement tous les genres ont été très exploités.

Je le fais très naturellement, je ne me suis pas dit je vais le faire en commençant à l’écrire.   C’est venu tout seul.

Sous la plume ou du moins de nos jours sous le clavier.

Ah non, moi j’écris toujours à la plume, toujours sur papier, après je retape tout je corrige, j’ai des petits carnets demi-A4, j’en ai une bonne centaine, je ne suis capable que d’écrire la dessus. Et de plus ce n’est pas du papier blanc, j’ai un tel traumatisme de la page blanche que je prends un papier gris.

« L’Enfant Nucléaire » a-t-il une forte connotation écologiste ?

Ce n’est pas une forte connotation écologiste, mais clairement je crois que tous mes bouquins sont une critique de la société de consommation, c’est aussi tout le récit et le destin du personnage principal, du protagoniste Jiminy et mené par le problème du nucléaire et des déchets qui s’entassent dans le monde dont on ne sait plus que faire.

C’est finalement, le croisement de ce personnage, qui a un don particulier avec notre société qui a un problème particulier.

 

Qui va mettre en place cette fin qui a mon avis était inévitable. Pour moi ce livre est tellement logique, que même les chapitres les plus terribles, je ne pouvais pas les contourner, c’est comme le super héros qui a un pouvoir particulier forcement on va chercher à exploiter ce pouvoir particulier dans tous les sens du terme.

Jiminy c’est la bonne conscience de l’humanité comme Jiminy Cricket la bonne conscience de Pinocchio (Walt Disney Pinocchio, sorti en 1940)

Ou clairement, je l’ai appelé Jiminy en référence au cricket du film. Comme le personnage féminin, je l’ai appelé Leia en référence a la Princesse Leia (Leia Organa d'Aldorande) dans « Star War ».

Pour en revenir à Jiminy, c’est un personnage qui a conservé ses valeurs, c’est un beau personnage. Je l’adore, je dis souvent que j’ai écrit ce livre par haine et par amour, d’abord par haine de ce système que l’on a mis en place et qui se veut manipulateur, destructeur, menteur et à la fois par amour pour ce personnage de Jiminy. 

Pour moi c’est un personnage presque éthéré, c’est un personnage qui se retrouve là avec un don, ce n’est pas un personnage maléfique, c’est un personnage qui est amené a un moment donné de l’histoire à commettre des actes absolument abominables, mais parce qu’il n’a presque pas le choix, c’est sa survie qui est en jeu.

Mais, fondamentalement c’est toujours un personnage qui essaie de voir les choses avec philosophie, d’être très cohérent, d’être, très posé par rapport à la vie. Pas d’objectif particulier, pas le but de s’enrichir, il n’a pas le but de dominer quelque chose.

Au tout début de l’histoire, il est presque abandonné par ses parents, c’est un gamin qui finit par vivre dans un terrain vague, avec des chiens, son don éveille la curiosité de tous les gamins de sa petite ville qui est Bethléem, j’ai pris spécialement cette petite ville symbolique, un nouveau Jésus, l’action se situant dans une ville de Pennsylvanie aux USA, qui porte ce nom célèbre.

Cela se déroule sur trois états : lui est né en Pennsylvanie à Bethléem, c’est intéressant, c’est une ville qui a énormément périclité, une des plus grosses entreprises ayant fermé amenant un taux de chômage énorme et lui grandi dans ce contexte. Il est devenu très très solitaire, il ne cherche pas le pouvoir, une bande de jeunes s’est créée dans cette petite ville et ils ont un rituel, un rituel d’initiation pour tous les nouveaux qui arrivent dans la ville, ils doivent jouer au jeu de la brouette, cela consiste a se faire tenir par les jambes et a avaler tout ce qui traine par terre, dans la cour de récréation.

Avec son don particulier, il remporte ce jeu haut la main, puisque son estomac peut avaler n’importe quoi.   Cela va tellement loin, ils ont une telle fascination de ce personnage, qu’ils lui proposent de devenir le chef de leur petit groupe, ce dernier étant un gros con, « toi tu es digne de l’être » lui disent » ils, il leur répond qu’il n’est pas intéressé par le pouvoir qu’il préfère rester seul et devient de ce fait le bouc émissaire par son refus de toute la ville.

C’est à la fois l’attrait d’un personnage totalement fascinant et ce rejet d’un personnage qui ne cherche pas a s’intégrer a quoique ce soit.

Dans le roman précédent, vous abordiez quelle question de société ?

J’étais parti d’une idée, une grande sécheresse, qui avait eu lieu aux USA. En fait j’aime bien les USA, ceux qui aiment bien châtient bien, à la fois, sur le plan artistique je trouve qu’ils ont un cinéma absolument fascinant, révolutionnaire, des auteurs comme David Lynch, des écrivains comme Stephen King m’on bercé durant toute mon enfance. J’aime bien ce côté extrême.

 Mais je méprise vraiment cette politique qui mène à l’internationale, ce côté de vouloir transformer absolument tout en commercial. Ce coté de vouloir prendre le pouvoir sur le monde, avoir le dernier mot sur tout ce qui ce passe dans le monde, avoir le droit de se servir de l’arme nucléaire et empêcher d’autres pays de l’avoir, c’est-ce coté la qui me dérange.

Mais j’aime bien les USA, car on a l’impression que l’on peut aller très loin, comme mes romans sont assez extrêmes, assez trash, je me vois mal mettre en scène un roman qui se passe par exemple en Belgique. Pour moi ce n’est pas concevable, j’ai des amis qui sont partis aux USA et m’ont dis : « tu t’assimiles très vite aux américains, car chaque fois que tu en rencontre un, il te dit qu’il a pour origines, une mère italienne mélangé a des indiens, un grand-père canadien mélangé à des Irlandais qui venaient de Suisse. »

C’est un grand mélange, ce qui fait que tout le monde s’y retrouve, cela crée un immense peuple hétéroclite, on sait plus trop a qui on s’adresse, c’est le monde entier qui es concentré dans une surface relativement petite à l’échelle mondiale.   

Leur coté extrême m’attire autant qu’il fait peur, donc oui « Blood Bar » qui se passait également aux États-Unis, a découlé de deux nouvelles publiées dans de 2 recueils de nouvelles : « Le Cycle des ténèbres », il y avait chaque fois une petite nouvelle qui parlait des bars à sang, les lecteurs me disaient de continuer, d’en faire un roman, un film, alors j’ai décidé dans faire un roman. Cela me permettait d’aller bien plus loin dans la thématique que je développais, dans les nouvelles le bar à sang au départ c’est une secte, qui est la « confrérie de l’artère » qui es une secte crée par un homme qui n’est pas un idéaliste, mais un commercial, un homme d’affaire américain. Attiré par l’occulte, mais qui cherche avant tout a gagner de l’argent, il crée cette secte, ou il amasse un grand nombre d’adhérents dans toutes les couches sociales.

Cela me rappelle une secte que je préfère ne pas nommer, qui cherche des adhérents chez les riches. C’est à la fois une secte spirituelle, c’est rassembler toute l’humanité, autour d’un élément central, le sang, effectivement nous avons tous du sang dans les veines, et il est semblable ou que l’on se trouve sur la terre, mais ce qui le motive vraiment qui est beaucoup plus occulte, c’est de remplacer finalement le commerce de l’alcool par le commerce du sang, c’est quelque chose de totalement absurde, j’en parlais avec des amis qui travaillent dans le domaine médical : « oui, mais tu ne mets jamais de l’anti coagulant dans tes romans ? Parce que le sang cela se coagule très vite », c’est pour ça qu’il ne faut pas lire au premier degré, car c’est totalement invraisemblable.

En même temps l’idée c’est d’instaurer un commerce, l’être humain devient non seulement l’instrument de l’être humain, mais aussi un objet de consommation, une alimentation pour l’homme, l’homme est prédateur pour l’homme, il devient à la fois consommateur et être consommé.

À partir de ce moment-là, la secte devient une grande entreprise commerciale, avec des bars dans tout le pays, clandestins bien sûr. Ou l’on vend du sang, et bien sûr le sang humain est le plus cher. Avec toutes les corruptions que l’on peut imaginer comme au temps de la prohibition. C’est un commerce interdit, mais l’état est impliqué.

C’était dans le cycle des « ténèbres » que l’on ne peut que trouver que chez des libraires en ligne, car il est plus édité, voir en bibliothèque.

Quelle était la couleur, de ces recueils ?

« Les ténèbres nues » était un recueil très cruel, j’avais vraiment écrit des nouvelles assez dures, plus proches de l’horreur, dès le départ la première nouvelle « Le silence des cadavres qui pensent » est l’histoire de frères jumeaux en conflit permanent, la mère étant décédé suite a l’accouchement du second et le père en a toujours voulut a l’un des deux. Et il y a une guerre qui se créer entre les deux frères, de manière exponentielle, jusqu’à la confrontation finale.

Tu as des projets, au niveau littéraire ou autres ?

Oui, j’ai des projets, j’ai un nouveau livre en cours, que j’ai écrit en 1998, mais il est très long, il fait plus de 1000 pages. Je n’ai pas osé le dire à l’éditeur. Sinon il m’égorge (rires), il sait que j’écris un roman, mais ne sait pas la longueur

C’est un livre de jeunesse, a cette époque la je détaillais les choses, de manière excessive. Je le reprends, pour en faire un roman de 400 pages. C’est un polar fantastique que je veux très rythmé. 

Tu n’as jamais eu envie de te lancer dans d’autres formes d’écriture comme les scénarios ou des BD par exemple ?

« Blood Bar » est en cour d’adaptation en BD. Et devrais sortir en 2013, le dessinateur en est Jean-Marc Kuwalik. Il sera probablement édité par Sarbacane. 

Je suis un peu touche a tout, j’ai commencé dans les années 90 a écrire des livres, sans trouver d’éditeur, j’ai donc fait des études de littératures en université et a ce moment la par un de ces hasards de la vie, je suis entré en contact avec une maison de production qui venait de se monter, totalement dédié au cinéma de genre. Ils m’ont engagé pour commencer a écrire des scénarios notamment : « A Broken Life », un film tourné au USA avec Tom Sizemore , Corey Sevier, Grace Kosaka… et ce n’est pas du tout un film de genre, mais un drame psychologique, j’étais l’un des scénaristes. On a été deux belges a travaillé dessus et trois canadiens. Le concept était des deux scénaristes belges. C’était très conceptuelle tourné caméra à l’épaule. J’ai également coécris avec un ami un court métrage intitulé : « Histoire d’Argent » qui a tourné dans les festivals et as reçut un prix au festival de San Francisco.

Tu as eu un prix littéraire au BIFFF en partenariat avec la Maison du Livre.

Oui effectivement, pour des nouvelles, remis par Henri Verne.

Je te remercie de ton accueil et a bientôt.

 

Sites de Daph Nobody :

http://daphnobody.wordpress.com/

http://daphnobody.blogspot.fr/

Biographie sommaire

Réside à Bruxelles. Il travaille comme scénariste (A Broken Life en 2008) et traducteur (anglais). Sa carrière démarre par la publication de nouvelles dans des revues spécialisées dans le fantastique, telles que Khimaira – il obtient le Prix Littéraire du Belgian International Fantasy Film Festival.

En 2009, il publie son premier roman dans la collection EXPRIM’ : Blood Bar, qui flirte avec la vague du roman de vampires pour mieux la dynamiter. Le livre jouit d’un très bel accueil critique (sélection Prix Chimère et Prix Futuriales 2011, articles dans Télérama, la RTBF, Le Figaro, etc.).

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Présences d’Esprit N° 70 Printemps 2012

  presence d'esprit 70

     

Le fanzine du club éponyme vient de paraitre, cette livraison outre les rubriques habituelles : littérature, BD, cinéma, TV, Jeu et Illustration, publie un dossier complet sur « La Brigade Chimérique » dont nous avons plusieurs fois déjà parlé sur ce site.

L’on trouve également un entretien de Bénédicte Taffin et un reportage sur « Les Imaginales ».

Nous vous recommandons de vous abonner à ce fanzine et de rejoindre le club.

www.presences-d-esprits.com

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CINEMA FANTASTIQUE

cinena fantastique

Le site CINEMAFANTASTIQUE, a la demande de nombreux internautes, a décidé e sortir une revue du même nom. Le lancement de la revue c’est fait à l’occasion du 30e BIFFF, ou elle a reçu un très bon accueil.

Pour l’instant semestrielle, l’on peut ce procurer la revue via le site :

www.cinemafantastique.net

Ce premier numéro porte sur le 30e BIFFF, on y trouve également un dossier sur les films de l’extrême et sur les super héros en 2012 et diverses autres rubriques.

 Je ne saurais trop vous recommander de vous la procurer.

 

 

 

 

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    BIFFF 2012 Palmarès

  IRON SKY

Le Jury International : Mick Garris, Marijana Jankovic, Eric Valette, Guillaume Malandrin, Paco Cabezas

Un Corbeau d’Argent est attribué à :

Juan of the Dead (Alejandro Bruguès)

Pour sa mise en scène inventive, son sens de l’humour et plus particulièrement pour la prestation de son acteur principal.

Un Second Corbeau  a été attribué à : Tormented (Takashi Shimizu) pour son originalité et son point de vue unique sur l’enfance à travers les yeux de son personnage.

Le Corbeau d’Or est attribué à The Awakening (Nick Murphy)

Le Jury Européen : Jean-Paul Bertin, Philippe Blasband, Pierre Dejemeppe, David Hainaut, Matyas Veress, Serge Dero, Kenan Gorgun.

Le Jury Européen attribue

Une mention spéciale à The Sandman (Peter Luisi)pour avoir apporté un peu d’amour au BIFFF.

Le Méliès d’Argentest attribué à  Iron Sky (Timo Vuorensola)

Le Jury Thriller : Maxime Chattam, Stéphane Bourgoin, Gigi Etienne, Philippe Dumont attribue.

Une mention spéciale àPaul Rhys pour sa performance exceptionnelle dans Eliminate Archie Cookson (Rob Holder)

Le Prix Thriller est attribué à

The Whistleblower (Larysa Kondracki)

Le Jury du 7e Parallèle : Bruce Ellison, Pat Cronenberg, François Marache, Daph Nobody attribue:

Une mention spéciale à Shuffle (Kurt Kuenne)

Le Prix du 7e Parallèle est attribué à Himizu (Shion Sono)

Le Prix du Public :

Le Pégase est attribué à Iron Sky (Timo Vuorensola)

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IRON SKY Timo Vuorensola

IRON SKY

 

Timo Vuorensola, a mis 5 ans a faire ce film, qui as en partie été financer par des fans qui via internet on coproduit ce film a auteur de 1 million d’euros, a un moment ou le réalisateur avait besoin de convaincre les producteurs. Cela lui a permis d’avoir des producteurs deux autres millions pour finir le film. Le budget total s’élevant à 7 millions et demi d’Euro.

Ce qui pour un film de genre européen, est un gros budget.

Suivant l’expression consacrée « l’argent est sur l’écran ».

Ce film a rencontré des problèmes pour l’importation des costumes nazis pour le tournage de certaines scènes. C’est en suivant les conseils d’amis qui avaient eu le même problème pour un autre film, qu’il a réussi a les faires entrer en Allemagne.

C’est avant tout une comédie de science-fiction, proche dans l’esprit d’un Stanley Kubrick et de son film culte : « 2001, l'Odyssée de l'espace (2001 : A Space Odyssey) », sorti en salle en 1968.

Mais ce n’est pas que cela, c’est aussi un film profondément antiraciste, qui utilise la comédie pour dénoncer l’extrême droite et plus particulièrement les ultras conservateurs des « thé parti » et de Sarah Palin, l’actrice (Stéphanie Paul, que l’on a déjà vue dans une dizaine de comédies) tenant le rôle de la présidente des USA, lui ressemblant de manière étonnante, mais aussi de manière convaincante.

A note que les musiques sont signées Laibach qui avait déjà fait les musiques de « Spiderman » ou de « The Blair Witch Project ».

Ce film très attendu a rencontré un bon accueil lors de ces présentations au Berlinade et au BIFFF 2012.

On espère que pour la sortie DVD on auras en bonus les bandes annonces, et spécialement la première avec le décollage de l’antarctique, qui n’est pas dans le film.

 

Résumé du Film :

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les nazis parviennent à lancer en secret une fusée jusqu’à la face cachée de la Lune. En 2018, les descendants de ces colons à la croix gammée et à l’idéologie plus que martiale ont construit une flotte de vaisseaux et s’en vont conquérir le monde.

 

 

CASTING

Réalisateur :

Timo Vuorensola

Scénaristes:

Johanna Sinisalo (original story),Jarmo Puskala (original concept) ...

Sortie : 4 avril 2012 (Finlande)

Genre: Comédie/SF

(Interprètes principaux)

Julia Dietze ... Renate Richter

Udo Kier ... Wolfgang Kortzfleisch

Kym  Jackson …Julia McLennan

Peta Sergeant... Vivian Wagner

Stephanie Paul ... President of the United States

Götz Otto ... Klaus Adler

Christopher Kirby ... James Washington

Monika Gossmann ... Designer

Yuki Iwamoto ... Japanese Representative

Tero Kaukomaa ... Finnish Representative

Jim Knobeloch ... Nazi Weapons Officer

Tilo Prückner  ... Doktor Richter

Nick Dong-Sik ... North Korean Representative

Jeffrey Coulas ... English Representative

Michael Cullen ... Secretary of Defence

Andrew Buchanan... 3rd GWB Officer

James Quinn... Reporter

Claus Wilcke ... Russian Representative (comme Claus Wilke)

Milo Kaukomaa ... Siegfried

Vivian Schneider ... Brunhilde

Ben Siemer ... Sanders

Alexander J. Beck ... New Yorker (comme Alexander Beck)

Fang Yu ... Chinese Representative

Martin Grelis ... 2nd GWB Officer

Jorres Risse ... Imperial SS trooper

Tom Hoßbach ... Dieter

Irshad Panjatan ... Indian Representative

Kristina Walter ... Old Woman

Alois Moyo ... NYC taxi driver

Jessica Veurman-Betts ... Hippie Gal

Eugene Schlusser ... Nazi General

Lisa Zoe Bräutigam ... Hannelore

Oskar Mahler ... Vieillard

Ramin Yazdani ... Pakistani Representative

George Koutros  ... Neo Nazi #1

Andreas Konzack  ... Security Officer

Marvin Davis ... Dictator

Dieter Gring ... Pilot #1

Harald Koch ... Pilot #2

Mark Mineart ... Male Detective

Samir Fuchs ... Middle east representative

Brett Molloy ... Uwe the pilot

Chelsea Cunningham ... Catwalk Model

Ryan Provost ... Segway cop

Durée : 93 min

Pays: Finlande  Allemagne | Australie

Langue: Anglais | Allemand

Couleur: Couleur

Classification: Allemagne:12

Lieux de tournage: Brisbane, Queensland, Australie

Société: Blind Spot Pictures Oy

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COLLECTIFFF 2012
A l’occasion du 30e Festival du Film Fantastique de Brussels, un collectif de cinéastes amateurs ont tournée des courts métrages. Il est dommage que seuls deux d’entre eux on prit le motif de cet événement qu’est un 30eme anniversaire, comme thème de leurs films.
Cela dis l’ensemble des films présenter dans une section spéciale, hors compétition, et projeter lors d’une soirée, était de bonne tenue, un film était projeter avant chaque séance classique du BIFFF, film changeant chaque fois.
Il n’est pas possible dans notre « format » de faire un article parlant des 12 films, nous en retiendrons donc deux, vous pourrez découvrir les autres en vous connectant au site spécialement dédier.
Sanctuary’s Battle : Les combats « magiques » aurait peut être put être accompagné ou précéder d’un ou deux combats dans le style duel Jedi, mais ne faisons pas trop  la fine bouche. Les effets spéciaux au vu des moyens dont disposait l’équipe (comme toutes les équipes) sont bien fait.  
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Sanctuary’s Battle (fiche)
Réalisé par Emre Olcayto avec Jean-Michel Vovk, Cécile Delberghe, Sarah Van Calck, Michael Cambier, Jonathan Robert, Idrissa Murangwa
Ange déchu bouté par Dieu hors du Paradis, Lucifer a trouvé un moyen de pénétrer sur Terre et d’y vivre caché. En quête d’une clé capable d’ouvrir les portes de l’enfer et qui serait enterrée parmi les hommes, Lucifer envoie ses deux filles et ses meilleurs combattants à sa rechercher…
L’équipe
Réalisateur : Emre Olcayto
Ass Real : Sebastien Petit
2eme ass real : Noémie Jacques
3eme ass réal : Sofia Ghysels
Producteur : Emre Olcayto
Directrice  de production : Belgin Aka
Chef Opérateur : Bjorn Charpentier
Ass Cam : François Andreoletti
Ass Cam : Paul Peeters
Steadycam : Olivier Merckx
Chef Electro : Peter Prinsen
Electro : Michael Stolz
Electro : Lucien Keller
Electro : Jerome De Paepe
Electro : Christophe Beauprez
Electro : Geraldo Haag
Electro : Jeroen Vercampt
Electro : Robin De Wit
Chef Machino : Jerome Milecan
Machino : Julien Charpentier
Combo : Noon
Scripte : Emmanuelle Segura
Make Up : Daphné Durieux
Stylisme : Paola Arellano Cortes
Set Designer : Florin Dima
Régisseur Général : Benjamin Vanhagendoren
Régisseur : Sebastien Briedis
Régisseur : Pierre Truong Tan Trung
Régisseur : Quentin Modave
Régisseur : Michael Lowyck
Régisseur : Julien Cherpion
Catering : Benjamin Bette
Making of camera operator : Guillaume Simonin et Isabel Elwood
Photographe de plateau : Benjamin Franck
Photographe de plateau : Anne Perin
Photographe de plateau : Lidwine Godfroid
Photographe de plateau : Aurore Belot
Photographe de plateau : Pierre Stievenart
Photographe de plateau : Julien Charpentier
Storyboard : Miguel Zuleta
Monteur : Jérome Guiot
Ass Monteur : Barney Frydman
Compositeur : Robin Scott Fleming
Sound Design : Gwenn Deschenaux, Lionel Laurent
Mixage : Sonic village, François Fripiat
FX : Julien Ducenne, Coppin Geoffray, Nicolas Corson, Thomas Dotheij, Somkiat Gualano, David Leclercq, Guillaume Noel, Fabien Deplanque, Frédéric Cikala, Christopher Cittadini, Pascal Berger
Mate Painting : Leonardo Sedevcic
3D : Axel De Roy
Collector: Collector est l’un des deux ou trios films “commémorant” véritablement le BIFFF, de genre post-BIFFF, enfin post-apocalyptique, mais c’est la même chose, si on ose imaginer un monde sans BIFFF. On es plus dans la direction d’acteur, que dans un film a effet spéciaux. Avec une equipe plus reduite que le premier cité, ce qui es logique etant donné qu’il n’y a pas de FX. Il en reste l’un des meilleurs du COLLECTIFFF 2012.
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Collector (fiche)
Réalisé par Sébastien Briedis avec Emilie Guillaume et Sharky Kaambikwa.
 Vingt ans après le dernier festival du film fantastique de Bruxelles et le dernier grand « tremblement », le monde n’est plus qu’une terre hostile et aride où les rares survivants appelés les collecteurs se battent pour quelques rares souvenirs du passé.
L’équipe
Premier Assistant réalisateur : Julien Hassid
Chef Opérateur : Guillaume Simonin
Chef Machino : Géraldo Haag
Chef Electro : Noémie Lazaron
Steadycamer : Nicolas Savary
Ingénieur du son : Matteo Pellegrini
Régisseur général : Benjamen Vanhagendoren
Effets Visuels : Xavier Pique

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Charlie Zone Michael  Melski
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Ce thriller présenter dans le cadre du 30e BIFFF, me en scène, un ancien champion de boxe, vivant désormais d’expédiant : combat de boxe, petits boulots.  
Engagé pour enlever une jeune fille héroïnomane, pour une « cure » de désintoxication forcée, il est poursuivi par des motards et des dealers.
Le scénario se complique rapidement, il devient rapidement évident que des personnes tapies dans l’ombre ont ourdi un complot touchant a une haute personnalité politique.
Le jeu juste de Glen Gould dans le rôle principale, un scénario bien construit, mais de facture classique, voire un peu académique font que les rebondissements surprennent peu le spectateur.
Le tout en fait un bon film de genre, que les amateurs de thriller devraient apprécier.
 
CASTING
 
Réalisateur:
 
Michael Melski
 
Scénaristes:
 
Joseph LeClair
 
Michael Melski
 
Acteurs/ trice -Rôle
 
Glen Gould ...Avery
 
Amanda Crew...Jan
 
Mpho Koaho ... Donny
 
Pasha Ebrahimi ...Tal
 
Cindy Sampson...Kelly
 
Reste de la distribution par ordre alphabétique:
 
Don Allison ...Winter
 
Auralea Austin ... Jan's Mom
 
John Awoods ...Jan's Dad
 
Jaycie Crouse...Lily
 
Ryan Doucette...Jean Guy
 
Shawn Duggan...Junkie
 
Gary Levert...Gerard
 
Daniel Lillford...Co-worker
 
Fabien Melanson...Louis
 
Agumeuay Nakanakis...Nathan
 
Mark A. Owen...Portier
 
Theo Pitsiavas...Cesar
 
Jennie Raymond...MacDonald
 
Zach Tovey...Brawler
 
Gordon White...David
 
Joe Zanetti...Promoter
 
Pays: Canada
 
Langue: Anglais
 
Couleur: Couleur
 
Lieux de tournage: Dartmouth, Nova Scotia, Canada
 
Société: Redemption Pictures
 
 
 

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ONE WAY TRIP 3D Markus Welter
one way trip
 
Des jeunes autrichiens se rendent dans la « Transylvanie suisse », mauvaise idée, pour y trouvez au fond des bois de champignons qui font rire, encore une mauvaise idée.
Ce qui devait être une promenade bucolique hallucinogène vire rapidement au cauchemar pur et simple.
Tournée en 3D, cela nous offre quelques scènes impressionnantes, il n’est pas certain que cela soit judicieux pour certaines scènes.
C’est un bon film, mais certaines scènes dans le noir, non pas a l’écran le rendu 3D d’autres scènes.
C’est un film don les scènes gore, réjouiront beaucoup. Réalité ou cauchemar du aux champignons, cauchemars hallucinogènes qui devient réalité, parfois on doute, a vous de découvrir ce qui en es.
 
 
CASTING
Réalisateur:
Markus Welter
Scénaristes:
Matthias Bauer (author),Bastian Zach (author)
Date de sortie:
22 septembre 2011
Genre: Horreur
Acteur/trice –Rôle
Sabrina Reiter .... Valerie
Melanie Winiger  ... Marlene
Herbert Leiser  ...  Pius
Martin Loos ... Robert
Aaron Hitz ... Mike
Matthias Britschgi  ...  Lars
Simon Kaeser ... Thomas
Isabelle Barth  ... Sarah
Harry Lampl ... Timo
Tanja Raunig  ... Lilli
Pays : Suisse | Autriche
Langue: Allemand
Couleur
Format : 1,78 : 1
Société: HesseGreutert Film AG
(Source IMDB.FR)

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Guillaume Floret L’Harmonie des Sphéres

harmoniedesspheres

Bonjour Guillaume,

Tu viens de présenter en compétition au BIFFF dans la compétition des films courts belges, un film d’animation intitulé « L’Harmonie des Sphères », tu peux nous en parler.

Guillaume Floret

Il s’agit, d’un film d’animation que j’ai réalisé, c’est l’histoire d’un soleil mourant, on est sur terre dans un futur postapocalyptique, le soleil est en train de mourir. Il ne reste plus sur terre qu’une femme. Jusqu’au moment où elle aperçoit une sphère, puis rencontre un homme…

C’est très BD comme style.

GF

Pour la BD, je suis un grand fan de Moebius , Caza , Bilal, toute la période Mutal Hurlant des années 80, c’est ce que je lisais quand j’étais plus jeune.

Et alors Caza, qu’a-t-il fait ?

GF

Caza, je lui est envoyez le film et il ma répondu en disant qu’il avait beaucoup aimé.

Sur le plan plus technique, tu as travaillé comment ?

GF

Je suis parti sur des personnages en 3D avec un rendu 2D pour avoir un aspect dessin animé avec des à-plats de couleur, pour obtenir un effet « ligne claire », ainsi qu’une couleur aspect cellulo, pour les plans avec des effets spéciaux, et plus spécialement pour la fin je suis revenu a une technique plus classique d’animation traditionnel.

L’idée de ce court métrage d’animation tu l’as depuis quand ?

GF

Cela fait depuis 3 /4 ans que j’ai commencé à y penser. J’ai pris une année sabbatique pour faire ce film.

Tu peux nous parler des autres membres de l’équipe du film.

GF

Oui, il y a Christophe Ottavanio qui as fait une superbe musique, on était partis sur une idée que j’avais eu s’inspirant de « Polaris » et il as fait vraiment un bon travail, la musique colle parfaitement avec l’ambiance du film, tel que je voulais la retranscrire. Julien Verstraete a fait la bande-son, l’ambiance, ce n’était pas évident, car nous avions choisi le partie pris de ne pas faire parler les personnages.

C’est la première projection publique, tu étais dans la salle tu as ressenti quoi.

GF

Ça fait un petit quelque chose de voir sur un écran de cinéma, un film que l’on a vu jusqu'à maintenant uniquement sur l’écran de son propre ordinateur durant un an et demi. Et finir par voir le résultat en salle devant 150 personnes.  

On rentre les épaules dans le fauteuil ?

Oui, c’est un moment d’émotion.

Alors Claire, quand il t’a parlé de ce projet tu as dit quoi, il est fou, je divorce (rires) ?

Claire Floret

Non, non (rires), quand il m’a parlé de ce projet, cela faisait un moment qu’il me parlait de ce projet et je voyais bien que cela lui tenait a cœur, c’est un projet qu’il avait depuis quelques années déjà, quand on aime on suis, alors du coup je l’es suivi. J’ai essayé de l’aider comme j’ai pu, comme je ne travaillais pas dessus, j’avais un regard un peu extérieur et je lui disais neuf sur les nouvelles scènes et sur le son également. Si je voyais une chose par exemple pas abouti je lui disais avec mes mots, pour faire avancer le projet au mieux.

Travaillé tout seul ce n’est pas évident, on est toute la journée la tête dans le guidon, on ne voit pas forcement ce qu’il faudrait ;

Tu as eu quelles formations ?

GF

J’ai fait l’ESMA de Montpellier, spécialisé dans l’infographie, la 3D, le cinéma d’animation. Ensuite je suis venu à Bruxelles, ou j’ai rencontré Claire, qui allait devenir ma femme.    J’ai travaillé dans une entreprise nWave Digital sur 3 films : « Fly me to the moon » puis « Les aventures de Sammy » 1 et 2. J’ai travaillé comme infographiste sur les décors de ces 3 films, alors que j’avais moins de 30 ans.

Et maintenant la question rituelle, les projets ? Immédiat et un peu plus lointain.

GF

J’aimerais que le film soit vu le plus possible, qu’il soit présenté dans d’autres festivals. Avoir le plus de retour possible,

Je crois que tu as trouvé un distributeur pour ce film ?

CF

Oui Don Quichotte Production.Le films n’es pas standard, c’est une histoire un peu particulière et qui es montrée également d’une manière particulière, c’est un parti pris, qui peu plaire ou pas, il l’as fait ce qu’il aimait comme il l’aimait, l’idée c’est de faire un petit chemin en festivals et si possible d’avoir des retours positifs. Sans un disributeur cela serait bien plus difficile, et il as eu la chance dans trouvez un.

Merci de m’avoir accordé cet entretien, le premier d’une longue liste j’espère.

 

L’Harmonie des sphères

 

Un film de Guillaume Floret

Avant-première Mondiale ! Cette femme attend la fin du monde dévasté par les éruptions du soleil à l’agonie… Tout espoir semble perdu ! C’est alors qu’un objet s’écrase sur la Terre…

Screenplay: Guillaume Floret

 

 Sound designer: Julien Verstraete

 

 Music: Christophe Ottavanio

 

 Version: No dialogue

 

 2011 / 11 min. 25 / Digibeta

 

 Contact: Don Quichotte, Zouzou Vanbesien

 

Site de Guillaume Floret www.gfloret.com

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BELGIUM FANTASTIC SHORT FEATURES COMPETITION 2012 PALMARES

Méliès d’Argent et Grand Prix du Jury du court métrage belge

(Sélectionné pour Méliès d’Or du Court Métrage)

Karkas par Maxim Stollenwerk

karkas

***

Prix Jeunesse

THAT de Jeremy Szaniawki

***

Prix SABAM

(1000 euro de prix)

MOTORHOME de Thierry Uyttenhoven

***

Prix FedEx

(Prix consistant à l’expédition du film gratuitement dans le monde entier à concurrence de 2500 EURO)

The Trapp d’Alberto Lopez

***

WORKSHOP 2012 Palmarès

Prix Eye-Lite

(Le prix consiste a 2500 euro de matériel d’éclairage fourni par le partenaire)

Rated R de Dimitri Devroe,Remis par Paco Cabezas

 

 

 

 

 

   

 

 

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